Scénario : Juanita Bartlett. Réalisation : William Wiard
Résumé
Richie se fait passer pour le conservateur d’une exposition d’art egyptienne. Tout ceci pour venger son père et prendre Coombs.
La critique
Dans cette seconde partie, les choses semblent trop faciles pour Jim et Richie. Coombs est réputé être un gangster implacable, or il se laisse duper par Jim en texan, Jimmy Joe Maker, en liaison avec un certain Robert Wendkos (Todd Martin).
Tout a tendance à s’embrouiller : l’exposition d’art égyptienne (Trisha Noble peine à nous faire croire qu’elle est attachée culturelle égyptienne avec son type très américain) semble un peu plaquée sur l’intrigue de façon artificielle.
Robert Webber, dans son jeu, nous paraît parfois emprunté. Trisha Noble en Mina Scadafi/Odette séduit Coombs et devient sa maîtresse. Mais on a un peu de mal à croire à la farce.
Au milieu de cette intrigue burlesque, James Garner laisse passer quelque sentiment. Il semble vraiment jaloux de Coombs/Robert Webber. Il s’en ouvre à Richie de façon détournée. Jim feint d’étrangler Wendkos, ce qui épate trop facilement le gangster.
Richie est un peu éclipsé dans cette deuxième partie. On apprend qu’il a 14 ans.
La réapparition d’Angel voulant effrayer avec la malédiction du pharaon ne convainc pas. On se croit au théâtre et pas dans une série policière.
Lorsque Coombs se met à croire à la malédiction et à avoir peur, Robert Webber doit se surpasser pour rendre son personnage crédible.
La fin semble un peu téléphonée. Coombs est terrorisé et fait un chèque de 450 000 dollars pour sauver sa peau. Harold Gould fait sa réapparition pour la scène finale.
Jim se comporte un peu en collégien amoureux avec Odette. La victoire contre Coombs trop facile donne à cet opus une note maximale de deux melons.
Anecdotes
Cet épisode rappelle les théories sur les morts bizarres de ceux qui en 1922 ont trouvé le tombeau de Toutankhamon.
