Re: 200 dollars plus les frais (1974-1980)
Publié : sam. janv. 28, 2017 4:38 pm
05-11- Meurtre au dernier round (A fast count) *
Scénario : Gordon Dawson. Réalisation : Reza S.Badiyi.
Résumé
Jim doit défendre Morry Hawthorne, entraîneur de boxe, arrêté par le FBI pour une affaire de corruption.
La critique
Cet épisode dans le monde de la boxe semble avoir été vu mille fois ailleurs. Après le double épisode magnifique que nous venons de voir, celui-ci fait figure de parent pauvre.
Le poulain de l’entraîneur, Jesus Hernandez (Steven Bauer), est l’enjeu de manigances du milieu. Parfaitement crédible dans son personnage, Kenneth McMillan incarne un Morry impeccable.
Jim remonte la filière de la corruption en suivant un certain Tony Malavida (Carl Anderson).
Les tractations pour acheter des actions sur un boxeur risquent de paraître fort obscures au téléspectateur français.
Ruth Beetson-White (Mary Frann) veut déposséder les parts de Morry sur Jesus Hernadez.
C’est un épisode bavard, pas passionnant. Le client de Jim passe de l’accusation de corruption à celle du meurtre de Malavida. L’argent des investisseurs n’est pas un argument qui passionne le téléspectateur. Sans doute une intrigue trop américaine pour l’Hexagone.
Un peu d’action nous sort de notre torpeur vers la 39e minute. Cela ne suffit pas à nous passionner. Dans la dernière partie, la méchante (Ruth) devient « gentille », au détriment de toute crédibilité.
Anecdotes
Mary Frann (1943-1998) est de retour après l’épisode 17 de la saison 1 Souffler n’est pas jouer.
Scénario : Gordon Dawson. Réalisation : Reza S.Badiyi.
Résumé
Jim doit défendre Morry Hawthorne, entraîneur de boxe, arrêté par le FBI pour une affaire de corruption.
La critique
Cet épisode dans le monde de la boxe semble avoir été vu mille fois ailleurs. Après le double épisode magnifique que nous venons de voir, celui-ci fait figure de parent pauvre.
Le poulain de l’entraîneur, Jesus Hernandez (Steven Bauer), est l’enjeu de manigances du milieu. Parfaitement crédible dans son personnage, Kenneth McMillan incarne un Morry impeccable.
Jim remonte la filière de la corruption en suivant un certain Tony Malavida (Carl Anderson).
Les tractations pour acheter des actions sur un boxeur risquent de paraître fort obscures au téléspectateur français.
Ruth Beetson-White (Mary Frann) veut déposséder les parts de Morry sur Jesus Hernadez.
C’est un épisode bavard, pas passionnant. Le client de Jim passe de l’accusation de corruption à celle du meurtre de Malavida. L’argent des investisseurs n’est pas un argument qui passionne le téléspectateur. Sans doute une intrigue trop américaine pour l’Hexagone.
Un peu d’action nous sort de notre torpeur vers la 39e minute. Cela ne suffit pas à nous passionner. Dans la dernière partie, la méchante (Ruth) devient « gentille », au détriment de toute crédibilité.
Anecdotes
Mary Frann (1943-1998) est de retour après l’épisode 17 de la saison 1 Souffler n’est pas jouer.