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Miroirs6-11-01Le document disparu

À VOS SOUHAITS
(YOU'LL CATCH YOUR DEATH)

Steed shops for stationery – Tara goes for a checkup

Tournage : Terminé le 24 mai 1968

Diffusion : ITV, 16 octobre 1968 – 2e chaîne ORTF, 22 novembre 1969 (La saison 6 a été diffusée aux États-Unis avant son passage au Royaume-Uni. La série étant britannique, seule la date de diffusion en Grande-Bretagne, région de Londres, est fournie.)

Scénario : Jeremy Burnham

Réalisation : Paul Dickson

Roland Culver (Colonel Timothy), Valentine Dyall (Butler), Fulton Mackay (Glover), Sylvia Kay (Matron), Patrick Newell (Mother), Dudley Sutton (Dexter), Peter Bourne (Preece), Charles Lloyd Pack (Fawcett), Henry McGee (Maidwell), Hamilton Dyce (Camrose), Bruno Barnabe (Farrar), Fiona Hartford (Janice), Geoffrey Chater (Seaton), Jennifer Clulow (Georgina), Emma Cochrane (Melanie), Willoughby Gray (Padley), Andrew Laurence (Herrick), Douglas Blackwell (Postman).

Résumé

Des oto-rhino-laryngologistes tombent comme des mouches. Leur mort soudaine n'a qu'un point commun : ils ont tous reçu une enveloppe… vide. Le mystère s'épaissit lorsque Steed découvre qu'une école d'infirmières a commandé des milliers d'enveloppes mais pas de papier à lettre !

Épilogue

Tara et Steed ont attrapé un rhume.


CRITIQUES

6-11-02


Denis Chauvet

Avis : Un très bon épisode souvent dévalué et mésestimé sur les sites anglo-saxons. Le schéma narratif de la saison couleur Emma Peel (morts violentes successives) est adopté et renforce le côté Avengers. L'épisode bénéficie de bons seconds rôles, d'humour (en VO), d'extérieurs bien British et de décors de circonstance (énorme nez). Malheureusement, Tara se fait chloroformer et son ensemble rouge, cravate comprise, est plus à même d'attirer le taureau dans l'arène que l'œil du téléspectateur ! Cela gâche le plaisir d'un excellent divertissement !

Avec le recul (nouvel avis, juillet 2011) : Points positifs : l’intrigue avengeresque intéressante de Jeremy Burnham (les enveloppes tueuses ou ‘murder by mail’), les extérieurs londoniens, la réapparition de Mother (et ses excentriques QG), la filature Lotus/Rolls dans Londres et la campagne, Steed parle allemand. Points négatifs : Tara dans son ensemble rouge trop plein (comparé à la robe jaune printanière de Georgina, la secrétaire). Tara est chloroformée (acte 2), Steed à Anastasia et les bavardages superficiels, la bombe fabriquée par Tara, le méchant quelconque.

Toujours trois.

Steed3003 21 décembre 2004

Un scénario une nouvelle fois complètement fou, mais incroyablement actuel, nouveau tour de force de la série : l'anthrax, ça vous dit quelque chose ?

Quel drôle d'idée de faire mourir les gens par simple lettre ! Jeremy Burnham écrit ici son premier scénario pour la série. Si l'idée séduit, le traitement est plus rebutant. L'épisode souffre à de nombreux niveaux : peu d'originalité, absence d'un vrai méchant, manque de rebondissements, longueurs... L'épisode souffre aussi d'un classicisme outré dans son déroulement : les meurtres se succèdent, Tara King se fait enlever... L'impression de déjà vu est donc très présente. Néanmoins, l'épisode se suit sans trop d'ennui, grâce à ses personnages très finement dessinés : Maywell, le docteur Forset, le colonel Timothy... Tous sont excellents et apportent beaucoup d'humour à un épisode qui en manque par ailleurs. En bref, un premier jet plutôt décevant (moins que le désastreux Brouillard qu'il a aussi écrit) de la part de Burnham, qui ne manquera pas de se rattraper par la suite avec Amour quand tu nous tiens.

Heureusement, la réalisation de Paul Dickson, dont c'est, bizarrement, le seul travail pour la série, est plutôt réussie. On retiendra notamment la séquence d'introduction, un modèle du genre par la variété des plans et le soin accordé à l'image ; dotée de plus d'un montage très efficace. Le reste est du même acabit, confirmant, par ailleurs, la supériorité artistique de la saison 6 par rapport aux saisons précédentes. On notera aussi les quelques ralentis utilisés à très bon escient. L'interprétation est dans la moyenne des Avengers, une moyenne dont se détache Ronald Culver, excellent en colonel anglais. Un bémol cependant : jamais il n'était apparu avec une telle évidence que les scènes de dialogues en voiture de Chapeau Melon étaient tournées en studio : les trucages sont effroyables.

Pour la première fois depuis le début de la saison (par ordre de production), Tara King se fait chloroformer. Les scénaristes utiliseront cette ficelle de nombreuses fois dans la saison (Pandora...). Cette dernière ne fait d'ailleurs pas grand-chose dans cet épisode, c'est surtout Steed, en compagnie de Mère-Grand, qui mène l'enquête.

On a droit à une nouvelle couleur pour les costumes de Steed : le bleu marine, plutôt convaincante. Mais, Steed entre trop dans les 60's, avec notamment cet affreux gilet à bandes bleues, et cela fait perdre au personnage une partie de son intemporalité. Une nouvelle fois après George et Fred, Tara King, plutôt bien habillée dans cet épisode, porte très bien le chapeau.

Beaucoup d'extérieurs typiquement londoniens et anglais dans cet épisode (avec même, dans le monde des Avengers, des cabines téléphoniques perdues au milieu de routes rurales !). Le film, dans une scène coupée, reprendra ce gimmick. L'école d'infirmières Anastasia est, elle, dans la mouvance de la série : épurée mais stylisée, comme le "décor Mère-Grand de la semaine" avec ses échelles de toutes les couleurs. Le décor de la clinique du rhume apparaît, lui, bien vide.

La musique de cet épisode est plutôt agréable, mais pas marquante loin de là.

EN BREF : La qualité plastique de l'épisode cache à peine un scénario pas assez abouti. Un épisode médiocre donc.

Estuaire44 16 février 2014

La saveur d'A vos souhaits s'avoine à celle de la Madeleine de Proust, tant on y retrouve d'éléments similaires à l'ère Emma Peel. Cela s'explique d'ailleurs en partie par le fait que Jeremy Burnham, comédien participant à diverses reprises à cette période, avait dès lors commencé à composer ses scripts, validés ultérieurement par Clemens. La présente avait d'ailleurs alors pour titre de travail Atishoo, atishoo, all fall down, avant d'être adoptée par la production en saison 6. On renoue ainsi avec des Excentriques nombreux et savoureusement dessinés, parfaitement ajustés au sein de scènes courtes et incisives (avec notamment le toujours excellent Henry McGee). Le Colonel, pittoresque baderne revenue des confins de l'Empire (figure régulière de la période précédente) participe plus longuement à l'action mais son association avec Steed fonctionne à merveille. L'introduction du dévoiement d'une institution britannique telle que l'école de nurses figure aussi ans la droite ligne des saisons 4 et 5, même si son traitement relativement rapide permet de ne pas éprouver de sensation de doublon vis à vis de Rien ne va plus dans la nursery.

Surtout, l'intrigue pleine de rebondissements composée par Burnham développe une dimension insolite caractéristique de la période classique de la série, ne se contentant pas, comme jusqu'ici à moult reprises cette saison, de simplement ajouter en sus un élément de Science-fiction à un récit relevant  fondamentalement de l'espionnage le plus classique (comme par exemple le récent Miroirs). Au contraire cette histoire instille un étrange authentique, avec une clef de l'énigme découverte seulement lors de la dernière partie. Certes l'auteur n'évite pas la sempiternelle litanie des meurtres, mais il sait jouer de ce poncif en le détournant vers un simili-pastiche de la série elle-même, caricaturant à plaisir incapacité des Avengers à les empêcher, à une seconde près (Jack Bauer s'en arracherait les cheveux) Tara s'avère très précieuse à cet égard, avec cette fraicheur et cet humour malicieux si plaisants chez  Linda Thorson.

Parachèvement de cette restauration réussie et distrayante en diable, Burnham nous régale ici d'un authentique Diabolical Mastermind, jusqu'ici espèce en voie de disparition cette saison. Certes Glover, génie dévoyé, ne figure pas tout à fait parmi les plus illustres représentant de cette digne lignée, mais l'épatant Fulton Mackay parvient à donner une idée passablement terrifiante d'un Chadwick (Le retour des Cybernautes) ayant pris les commandes. On goûte au plus haut  point que son délirant monologue devant Tara ne se révèle pas simplement vénal, mais aussi empreint de mégalomanie et de cruauté, Les Avengers auront toujours besoin d'adversaires de cette trempe là, ils leur sont consubstantiels. Le sadisme réjoui de Glover trouve d'ailleurs un plaisant écho chez son adjointe comme chez ses tueurs, de jolis cas eux aussi (comme l'on dit en psychiatrie). Tous les personnages d'A vos souhaits bénéficient d'ailleurs d'une véritable caractérisation, à la différence des agents secrets si classiques d'un épisode comme Miroir.

L'excellente distribution joue à plein dans ce sens, le vétéran Raymond Culver se montrant ainsi irrésistible dans le rôle du Colonel. La mise en scène de Paul Dickson apporte une importante contribution à l'ensemble, même s'il se montre moins imaginatif qu'un Raymond Fuest, dont la participation aurait sans doute hissé l'épisode au tout premier rang de la série. Dickson réussit néanmoins quelques faits d'arme importants, comme dynamiser suffisamment les meurtes par enveloppe pour éviter toute sensation de redite ou d'action figée. Si l'on peut regretter l'absence d'un combat final, la mise en scène apporte de l'énergie aux nombreux rebondissements du récit. Dickson tire également un excellent parti des jolis extérieurs de Cumberland Terrace ou de décors très réussis, comme le repaire de l'opposition, au design froid et clinique perturbé par l'hilarante folie de ce nez gigantesque, partie prenante de l'action. Le nouveau quartier général de Mother, aux allures de décor de cinéma halluciné,  constitue un nouveau chef-d'œuvre, à la fois absurde et énigmatique. L'imagination du spectateur s'amuse ainsi à imaginer une utilité aux échelles colorées tout comme à la piscine ridiculement petite, ornant cette rencontre du Monde des Avengers et de Cinecitta.

La persistance du caractère de Mother se montre fort estimable (ainsi qu'un penchant pour les liqueurs affirmé d'épisode en épisode, de même que son amitié complice avec Steed et son souci pour ses agents, derrière une apparence bourrue. Il s'affirme décident comme le supérieur idéal des Avengers. Steed joue parfaitement sa partition : sa manière suave et perfide d'exécuter Glover est un pur régal et le duo formé avec Tara continue à pétiller. On frôle le sans-faute, malgré un tag une nouvelle fois stupide et d'un goût douteux, voyant son élégance naturelle passer en pertes et profits. On pourrait regretter l'enlèvement précoce de Tara (surtout après son festival de Miroirs), mais la jeune femme demeure bien loin de se cantonner à la passivité ou au statut de Damoiselle en détresse. Ses actions (combats, astucieuse tentative de fuite, confrontation avec le Mastermind, etc.) animent réellement l'épisode, malgré un costume rouge assez désastreux, du dernier pompier.

EN BREF: Tout en conservant les acquis de la nouvelle période, l'épisode nous vaut un irrésistible coup d'œil dans le rétroviseur de l'ère Emma Peel, avec une intrigue à l'insolite caractéristique  et un revigorant Diabolical Mastermind. 


VIDÉO


Steed et l'excentrique !


INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

6-11-03


Tournage

o Anastasia Nursing Academy est Shenley Hall à Shenley.

o Tara suit la Rolls Royce dans son AC 427 mais la perd à un croisement dans les bois. Scène tournée à Burnham Beeches, Burnham. Considéré comme l’une des subsistances les plus remarquables des anciennes vastes forêts anglaises, ce site de 220 hectares contient des hêtres de plus de cinq cents ans. L’arbre le plus âgé de la réserve, surnommé le Chêne du Druide, culmine à huit cents ans ! Cette forêt contient de nombreuses espèces végétales et animales devenues rares. Située à proximité des studios de Pinewood (40 km à l’ouest de Londres) elle figure ainsi dans de très nombreuses productions britanniques (films ou séries), d’autant que les équipes des autres studios font souvent le déplacement. Elle apparaît ainsi dans cinq autres épisodes de la série. (source : The Avengers on Location)

o La demeure du colonel Timothy est Edge Grove School à Aldenham.

o Tara suit la Rolls après que le postier ait déposé sa seconde enveloppe. Scène tournée à Chester Terrace à Londres.Construite en 1825, cette perspective de 42 maisons, longue de 300 mètres, appartient également aux aménagements de style Régence prévus par John Nash pour Regent’s Park.

o Cumberland Terrace constitue le décor extérieur principal de l’épisode (bureaux des médecins assassinés). Classée monument historique, cette majestueuse colonnade corinthienne (1826), encadrée par 59 maisons et ornée de statues exaltant la grandeur de la Grande-Bretagne, fut nommée ainsi en l’hommage au frère cadet du Régent, le Duc de Cumberland. Elle est considérée comme le chef-d’œuvre de John Nash, chargé en 1811 par le Régent (futur George IV), d’édifier Regent’s Park. Cet immense monument à la gloire de son commanditaire regroupe un vaste ensemble de colonnades et de villas en style néo-hellénistique, dit « Régence ». Au cœur de Londres, il recouvre outre Cumberland Terrace , plusieurs éléments distincts harmonieusement coordonnés : Chester Terrace, Crescent Park… Enthousiasmé, le Régent confia également à Nash l’édification de Buckingham Palace, dans le même style. (source : The Avengers on Location)


Continuité


Détails

o Première allusion à Father (Grand-Père).

o Tara utilise les caractéristique explosives du chlorate de potassium lors de sa tentative de fuite. Effectivement ce composé chimique aux multiples applications industrielles est également employé dans la réalisation d'explosifs et de feux d'artifice. Ces propriétés, découvertes dès 1870, lui valurent d'être fréquemment employé durant la Grande Guerre. Par contre il s'agit également d'un poison virulent, il reste pour le moins étonnant de le retrouver comme médicament « à faire fondre dans la bouche » (comme l'indique l'étiquette), mais telle la magie des nécessités scénaristiques !

o Face à l'adversaire, Steed conseille de suivre la même tactique qu'à la bataille de Vimy. Située à proximité d'Arras, cette petite ville vit se dérouler une féroce bataille en Avril 1917, les Canadiens ayant pour mission de reprendre une crête stratégique aux Allemands. Cet affrontement provoqua de lourdes pertes chez les Canadiens (plus de 3 500 morts), mais ils attinrent tous leurs objectifs, là où Anglais et Français avaient au préalable échoué. Cette victoire chèrement payée valut au Canada de figurer en bonne place lors de la signature du Traité de Versailles et favorisa l'émergence d'une conscience nationale. Vimy abrite aujourd'hui le mémorial des 66 000 soldats canadiens tombés au champ d'honneur durant la Grande Guerre.

o Souvent précurseurs, les Avengers se montrent ici prophétiques. En effet, une semaine après la chute des Tours jumelles de New York, se déroula en 2001 une succession d'attentats perpétrés au moyen d'enveloppes contenant du bacille du charbon (anthrax désignant en français une maladie de peau plus bénigne). Visant d'importants médias basés à New York et Washington (ABC, CBS, NBC, New York Post, National Inquirer, etc.). Ces envois firent cinq victimes et dix-sept autres contaminés. Jusqu'ici l'enquête n'a donné que des résultats partiels et controversés. Le bacille du charbon peut être communiqué et par inhalation et provoque une infection des voies respiratoires, fatale au pire dans 80 % des cas.

Acteurs – Actrices

o Roland Culver (1900-1984) a commencé sa carrière en 1931. Il tourna beaucoup dans les années 30 et 40 avant de se tourner vers la télévision dans les années 60. Vu dans Amicalement Vôtre entre autres. Également grand comédien de théâtre, il était spécialisé dans les rôles de parfaits gentlemen anglais, au flegme inaltérable.

o Valentine Dyall (1908-1985) fut surtout connu pour sa voix à la radio des années 40 à sa mort. Dans Casino Royale, le James Bond parodique de 1967, il est la voix du diabolique Dr. Noah. Dyall était surnommé « The Man in Black » pour ses nombreuses lectures de récits d’épouvante à la BBC.

o Fulton Mackay (1922-1987) a participé à deux autres épisodes : Le retour des cybernautes, saison 5 et Bizarre, saison 6. Également dans Le Saint, Dr Who, Paul Temple mais c'est son rôle de gardien de prison dans le sitcom Porridge qui reste dans les mémoires en Grande-Bretagne. Figure majeure du théâtre écossais (fondateur de Scottish Actors' Company), il interpréta principalement des Écossais à l’écran.

o Henry McGee (1928-2006) est connu pour sa participation à la série Benny Hill. Il est décédé de la maladie d'Alzheimer.

o Geoffrey Chater (1921) a débuté sa carrière en 1955. Il a joué également dans l'épisode Meurtres à épisodes de la saison 5 et dans Le Saint, Département S, Les Champions, Paul Temple, Jason King, Bergerac et plus récemment L'Inspecteur Barnaby.

À noter que…

o Aka Atishoo, atishoo, all fall down .

o Un des cinq scénarii écrit par Jeremy Burnham pour la sixième saison. Ce scénariste est déjà apparu dans la série en tant qu'acteur : Voyage sans retour - saison 4, Les marchands de peur -saison 5 et Ne m'oubliez pas - saison 6.

o D'après Television's greatest hits, cet épisode fut le plus regardé de l'année 1968.

o Commentaire de Patrick Macnee sur cet épisode : "Après avoir joué dans plusieurs épisodes [Voyage sans retour, Les marchands de peur, Ne m'oubliez pas], Jeremy Burnham a demandé à Brian Clemens s'il pouvait écrire un script. Cette histoire est la 1re des 4 qu'il a écrites [il en a écrit en fait 5 en tout : À vos souhaits !, Faux témoins, Amour, quand tu nous tiens..., Brouillard, Affectueusement vôtre]. Prolifique pendant les années 80, Burnham a écrit pour Cats Eyes, Minder et Les Professionnels, parmi tant d'autres." - (source : bonus DVD).

o Commentaire de Brian Clemens sur l'épisode : "Celui-ci a été écrit par Jeremy Burnham qui avait commencé comme acteur, ce qu'il est toujours. Dans les épisodes en noir et blanc, il a joué 2 ou 3 fois [il a en fait joué 3 fois dans la série dans des épisodes noir et blanc et couleur]. Puis, il m'a demandé s'il pouvait en écrire un. Je lui ai dit d'accord. Il en a écrit un qu'on a tourné [celui-ci]. Puis, il est devenu un auteur régulier. Depuis, il écrit pour de nombreuses séries [Inspecteur Morse, Emmerdale...]. Aujourd'hui on a fait un cercle parfait puisqu'il vient de terminer un épisode des Professionnels [autre série produite par Clemens] !" - (source : bonus DVD).

o On remarquera une image en générale de piètre qualité et souvent tremblotante pour cet épisode (DVD).

o Erreur de sous-titrage à 33' : c'est Grand-Père à qui Mère-Grand téléphone et non Grand-Mère. Erreur compréhensible vu que dans la VO Mère-Grand est Mother, soit mère, et Grand-Père : Grandma, soit Grand-mère, vous suivez ?

o Coupures de presse lors de la 1re diffusion française.

Télé 7 Jours

Télé Poche

Jours de France

Fiche de À vos souhaits des sites étrangers

En anglais

http://theavengers.alexia.us/ep132.shtml
http://theavengers.tv/forever/king-3.htm
http://www.dissolute.com.au/avweb/tara/603.html
http://deadline.theavengers.tv/King-04-CatchYourDeath.htm

En flamand

http://home.scarlet.be/~pvandew1/avengers/king05.htm

En italien

http://www.serietv.net/guide_complete/agente_speciale/stagione_6.htm#132

En espagnol

http://losvengadores.theavengers.tv/tara_catch.htm

 

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