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Le document disparu6-13-02Faux témoins

JEUX
(GAME)

Steed plays 'super spy' – Tara is the prize

Tournage : Terminé le 25 juin 1968

Diffusion : ITV, 2 octobre 1968 – 2e chaîne ORTF, 18 octobre 1969 (La saison 6 a été diffusée aux États-Unis avant son passage au Royaume-Uni. La série étant britannique, seule la date de diffusion en Grande-Bretagne, région de Londres, est fournie.)

Scénario : Richard Harris

Réalisation : Robert Fuest

Peter Jeffrey (Bristow), Garfield Morgan (Manservant), Anthony Newlands (Brigadier Wishforth-Browne), Alex Scott (Averman), Aubrey Richards (Professor Witney), Desmond Walter Ellis (Manager), Geoffrey Russell (Dexter), Achilles Georgiou (Student), Brian Badcoe (Gibson).

Résumé

D'anciens compagnons d'armée de Steed sont retrouvés assassinés avec des pièces de puzzle dans les mains. La vengeance est le mobile et chaque victime doit se plier aux exigences du 'diabolical mastermind' : jouer sa vie à un jeu de société ! Steed doit jouer... pour sauver Tara !

Épilogue

Steed et Tara jouent à un jeu de société dont les règles ont été inventées par l'agent au chapeau melon : le "Steedopoly" !


CRITIQUES

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Denis Chauvet

Avis : Une succession de meurtres, Peter Jeffrey en excellent diabolical mastermind à l'instar du Joker et des jeux de société plus incroyables les uns que les autres font de cet épisode un sommet de cette saison. La réalisation maîtrisée de Robert Fuest et les décors magnifiques contribuent à faire naître une tension palpable chez le téléspectateur. Quand à Tara, elle est chloroformée et mise dans un sablier ! Notez la petite claque sur le postérieur que lui donne Steed ! Dommage que le tout soit gâché par une copie DVD Studio Canal exécrable !

Avec le recul (nouvel avis, juillet 2011) : Points positifs : un scénario Avengers classique ; ici, les jeux de société appropriés aux participants (pilote, zoologiste, boursicoteur, soldat, prof et…agent secret), l’excentrique de Jig Creations, un superbe Jeffrey et de bons seconds rôles (butler, brigadier), le thé dans la tranchée (so British), la claque sur les fesses, le sablier et le final grandiose. Points négatifs : les lunettes hublots de Tara, le chloroforme (acte 3). Four bowlers, of course.

Steed3003 19 février 2005

Dès qu'on commence à parler de Jeux, les superlatifs ne manquent pas, Génération séries le qualifie de "meilleur [épisode] de toutes les saisons des Vengeurs (sic)", le guide Irrespectueusement vôtre rejoint cette appréciation ; Didier Liardet le trouve lui aussi "excellent". Pourtant à la vision de cet épisode, mon jugement apparaît plus nuancé.

"It's all a game really" (en VF : "Tout cela est bien un jeu"), dit Tara King au cours de cet épisode ; cette petite phrase résume tout à fait l'esprit du scénario de Richard Harris : faire de Jeux un des épisodes les plus… ludiques de la série. Si Richard Harris n'a écrit qu'un seul épisode pour la saison 5, il nous avait marqués : Le vengeur volant par son ton "cartoonesque" nous avait montré combien l'auteur aimait jouer avec l'imaginaire enfantin. Il pousse encore plus loin le concept dans cet épisode, où tout paraît être vu à travers les yeux d'un enfant et la série apparaît comme un immense terrain de jeux ; avec bien sûr pour principal aspect : si nos jeux de société prenaient vie ? Une idée complètement délirante mais oh ! combien superbement mise en valeur et efficace. La saison 6 devient de plus en plus extravagante ; débarrassés de l'imposante Mrs Peel, les scénaristes se font plaisir et ça se voit. De toute manière dans Chapeau Melon, plus l'idée de départ est improbable, plus l'épisode est excellent !

Ainsi, l'univers de l'enfance domine durant tout l'épisode : c'est dans un square que l'on découvre les cadavres successifs, les indices prennent la forme d'un puzzle, Tara qui construit des "remparts" avec deux chaises et un fauteuil (comme un enfant l'aurait fait) pour protéger Steed… Même les adultes paraissent être comme les enfants se l'imaginent. Vous verrez d'ailleurs qu'ils constituent un panel joliment représentatif de ce que les enfants voudraient devenir quand ils sont grands : sportif, militaire, professeur… et agent secret ! On retrouve le trader et ses 5 téléphones qui dit "Achetez, vendez !" à travers le monde ; le militaire planqué dans sa tranchée qui clame : "Chargez !" ; le professeur d'université très cultivé et vieux jeu… Des stéréotypes toujours valables aujourd'hui ! Même le méchant, Monty Bristow, apparaît finalement comme un enfant capricieux et mauvais joueur. Mais dire que le scénario est infantile serait inadéquat. C'est justement en nous faisant pénétrer (non sans nostalgie) dans cet univers que Richard Harris réussit à transcender la série qui, elle, finalement, ne s'est jamais montrée trop adulte et a toujours eu ce côté inoffensif et décontracté. Steed et ses partenaires apparaissant finalement comme deux copains qui s'amusent à résoudre des énigmes ensemble, comme chaque enfant aimerait le faire avec son/sa meilleur(e) ami(e). C'est d'ailleurs cela qui a fait, fait toujours et fera sûrement son indéfectible popularité auprès des plus jeunes.

Pour revenir au scénario intrinsèque, Richard Harris se montre plein d'imagination : les scènes de meurtres successifs sont (avec Clowneries) les plus inventives de la série. Même si certains jeux paraissent inadaptés (le jeu des échelles, le circuit de formule 1…), les autres sont tous autant de vrais moments de génie : le jeu de la bourse ou de lettres sont de grands morceaux de suspense, comme la série ne nous en offre que très rarement. Que dire du jeu de l'agent secret, fantasme de spectateur prenant vie, un génial moment de bravoure, auquel tout le monde aurait aimé participer. La grande réussite de Jeux est que, comme Caméra Meurtre mais dans un autre genre, il s'amuse avec les codes de la fiction et avec les connaissances du spectateur sur le show. Par ailleurs, l'épisode ne manque pas d'humour, les échanges entre nos Avengers sont des plus piquants. Jig création (la maison du puzzle à laquelle la famille royale elle-même aurait rendu visite) est l' "organisation excentrique de la semaine" et donne lieu, comme toujours chez les Avengers, à des moments très comiques. Le côté so british de la série, qui avait progressivement disparu, revient en force, avec la scène du thé dans les tranchées (après le train dans Voyage sans retour) ; un moment indescriptible car tellement "avengeresque".

Néanmoins, quelques points déçoivent : tout d'abord, la structure particulièrement classique et linéaire du scénario (on pourrait d'ailleurs adresser le même reproche au Vengeur volant), qui paraît un peu trop simpliste ; comme les motifs du méchants (une simple vengeance) désagréablement "sériesque". C'est bien là la seule critique qu'on pourrait adresser à un scénario particulièrement osé, imaginatif et rythmé. Le meilleur de la saison ? Sans aucun doute.

Jusqu'ici, tout va bien ; mais alors que la réalisation dans la saison 6 s'était jusqu'ici montrée impeccable, elle dessert ici un scénario qui, paradoxalement, permettait à son metteur en scène de donner le meilleur de lui-même. La déception est encore plus grande quand l'on voit que c'est Robert Fuest (qui nous avait épaté avec son travail sur Mon rêve le plus fou) qui en est la cause. On peut facilement comprendre la difficulté à mettre en scène un scénario aussi fou et facilement "casse-gueule", surtout pour des budgets serrés et en un temps limité, deux facteurs inhérents aux fictions télévisuelles. Mais James Hill s'en était très bien sorti, lui, avec un scénario tout aussi complexe pour Clowneries.

Commençons par les fameuses scènes de jeux : si leur fond noir paraît de prime abord adéquat, donnant à ces scènes des allures de rêves éveillés rejoignant le monde de l'imaginaire auquel fait appel l'épisode, il finit par décevoir. En effet, l'épisode faisant appel à l'univers de l'enfance, des couleurs plus vives, voire carrément criardes (comme dans Le vengeur volant, par exemple) auraient paru préférables. De plus, les nombreux effets qui parsèment ces scènes sont carrément ratés (la maquette de la séquence d'intro, le panneau du jeu boursier…), voire risibles (le serpent "en peluche" du jeu d'échelles…). Néanmoins, deux séquences sont particulièrement haletantes : le jeu de lettres et le jeu du super agent secret. Toutes les deux très intelligemment mises en scènes.

L'autre grande déception vient des scènes d'action (pourtant un point fort de Mon rêve le plus fou) : elles sont brouillonnes et renouent avec les problèmes de doublures trop visibles des saisons précédentes, qu'on croyait pourtant enterrés. Finalement, le principal défaut de Robert Fuest apparaît ici dans l'épisode : à force d'innover, on finit parfois par s'y perdre. Ainsi, si l'on sent à chaque plan un désir de bien faire (voire de trop bien faire en multipliant les artifices inutiles) tout en essayant de faire artistiquement évoluer la série, ces innovations apparaissent ici nettement plus hasardeuses (la caméra qui virevolte dans le square) et pénibles (beaucoup trop de zooms, l'accéléré dans la maison du puzzle) que celles de sa précédente réalisation. Par conséquent, l'épisode manque énormément d'unité et de fluidité.

Heureusement, Robert Fuest dirige toujours aussi bien ses acteurs : si Peter Jeffrey reste toujours aussi convaincant en méchant, on retiendra surtout Anthony Newlands, éblouissant de talent en militaire qui se prend au jeu. Quant au duo Macnee/Thorson, jamais le couple n'est apparu aussi alchimique à l'écran. En bref, une immense déception pour cette mise en scène, indigne du talent de Robert Fuest.

Après À vos souhaits, Tara se fait encore une nouvelle fois chloroformer dans cet épisode. Quant à Steed, il prouve ses qualités d'agent secret dans un inoubliable jeu qui lui est taillé sur mesure. Par ailleurs, le passé militaire de Steed refait de nouveau surface dans cet épisode (après L'heure perdue) ; où l'on apprend qu'il aurait fricoté avec la fille d'un colonel ! Sacré Steed ! Enfin, les échanges entre nos Avengers sont des plus comiques dans cet épisode, où Steed n'hésite pas à donner une tape généreuse sur les fesses (tout aussi généreuses) de Tara King. Ne manquez pas le tag final, comme toujours dans cette saison très réussie, où l'on découvre le "Steedopoly" !

Alors qu'ils auraient dû être le point fort de l'épisode, les décors sont ici très décevants : le circuit de formule 1 ridicule, le jeu d'échelles moyen… Ceux du jeu de lettres et du jeu du super agent secret sont nettement plus convaincants. La maison du méchant est soignée, mais trop classique : on aurait apprécié voir le thème du jeu et du hasard (omniprésent dans son esprit) de manière plus marquée. Quant aux extérieurs, ils se résument à de vertes campagnes ensoleillées particulièrement plaisantes.

Tara change énormément d'habits dans cet épisode ; elle nous marque surtout dans ses ensembles respectivement jaune et bleu ciel, le reste est de bon goût. Steed, après quelques écarts dans les épisodes précédents, revient aux sources : des costumes impeccables !

Howard Blake reprend l'aspect infantile de l'épisode Rien ne va plus dans la nursery dans sa musique, avec un certain succès.

EN BREF : Un scénario exceptionnel débordant d'imagination, malheureusement gâché par une réalisation approximative. Pas le chef-d'œuvre qu'il aurait dû être, mais un très bon épisode tout de même.

Estuaire44 16 février 2014

Game s’impose d’emblée comme un authentique enchantement visuel, intégrant parfaitement le langage propre à l’étrange lucarne. Le retour de cet excellent et imaginatif metteur en scène qu’est Robert Fuest, doublé d’un designer hors pair de décors,  apporte à cet égard immensément à l’épisode. Les nombreux décors renouent avec le charme particulièrement persistant des jeux de société des Sixties, se ressentant au-delà même de toute nostalgie. D’autres séries du temps sauront jouer pleinement cette carte, telles Doctor Who (The Celestial Toymaker, 1966) ou Le Saint (The Man Who Liked Toys, 1964). Mais les décors successifs de Game atteignent une dimension supplémentaire : ils manifestent le goût très sûr de Fuest, ainsi que sa perception enthousiaste et pénétrante du phénomène alors en vogue de l’Op Art et de sa prédominance accordée aux perspectives.

Ses créations (ou celles qu’ils suscitent) constituent des créations très abouties du genre, évidemment compte tenu des faibles moyens alloués. Sa caméra relaie et appuie superbement les décors, par sa mobilité comme par sa recherche fluide d’angles saisissants et de plans biscornus soulignant les effets. On trouve ici un langage télévisuel original au sein de la série car à peu près absent des années Emma Peel. Le talent et le précieux apport de Fuest consistent à le porter à son meilleur niveau (loin de la caricature ludique mais  surchargée que représente l’appartement de Tara King, issu de l’équipe précédente). Jointe à une relation entre Avengers renouvelée et à des scénarios habiles, cette vision aurait pu signifier un viatique pour la série, mais la saison 6 n’atteindra de tels sommets que trop occasionnellement.

Le scénario de Richard Harris pourrait davantage prêter le flanc à la critique. Après tout il apparaît moins novateur, véhiculant derechef la succession de meurtres bien connue par les amateurs d’Avengers toujours durablement incapables d’y mettre un terme. Harris joue également sur le terrain ultra balisé des récits de vengeance, on se croirait d’ailleurs par moments devant un remake Sixties du Comte de Monte-Cristo. Mais l’auteur se montre suffisamment habile pour tirer le meilleur parti de ces différents ressorts, aidé par une distribution de haut vol. Outre l’Excentrique fort gouteux que représente le maître des puzzles (nouveau superbe décor), les différentes victimes de Bristow ne se résument heureusement pas à des silhouettes, mais nous valent des portraits bien croqués. Le scénario dévoile progressivement ses effets, sachant nous conduire progressivement jusqu’à l’apothéose que constitue le jeu Super Secret Agent. Une prodigieuse mis en perspective, où Bristow recrée cette fusion de l’imaginaire ludique et de l’espionnage fantasmé définissant in fine le Monde des Avengers lui même. Un charmant tag final vient parfaitement conclure l’ensemble.

Par sa pleine stature de Diabolical Mastermind d’exception, Bristow, admirablement interprété par Peter Jeffrey, manifeste que Brain Clemens a désormais pleinement imprimé sa marque à la saison tout en laissant Fuest débusquer de nouvelles voies de renouvellement. Il confirme également, que ce type de personnage autorise les Avengers à donner leur meilleure dimension. Le personnage se montre captivant pas son mélange de démesure pathologique et de ruse matoise. On n’aura garde d’oublier son désopilant majordome/homme de main, qui va jusqu’à menacer parfois de lui voler la vedette.  Il achève de former une variation hautement fantaisiste et humoristique du tandem génie du mal / exécuteur hors norme, porté au pinacle par les aventures filmées de James Bond.

Privés ici de Mother (mais l’épisode est déjà plein à ras-bord) , les Avengers ne s’affirment pas moins à la hauteur. Leur association instille d’excellents dialogues, aussi savoureux que ceux du duo maléfique. Evidemment Tara retrouvent temporairement ses oripeaux de Damoiselle en détresse, mais elle participe néanmoins à l’animation de l’épisode comme à sa résolution. Sa relation moins fusionnelle et plus hiérarchisée (mais non inféodée) à Steed, participe pleinement à la tentative de renouvellement de la série menée ici avec succès, conjointement au maintien de ses atouts fondamentaux. Linda Thorson, désormais parfaitement à l’aise dans on rôle bénéficie également d’une garde robe colorée parfaitement en syntonie avec l’ambiance impulsée par Fuest.

EN BREF: La mise en scène et le talent de designer de Robert Fuest impulsent un langage visuel innovant, autorisant le renouvellement réussi d’une série sachant préserver ses atouts : un ton  à part, un duo d’Avengers attractif et un Mastermind de haute volée.


VIDÉO


Steed a son propre jeu !


INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

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Tournage

o Les extérieurs de la maison de Bristow furent filmés à l'Hôtel Grim's Dyke, Harrow Weald. Construit en 1870 selon le style Tudor. Son propriétaire, Frederick Goodal, fut l’un des peintres les plus réputés de l’ère victorienne. Il y reçut la plus haute société du royaume, notamment le Prince de Galles et Dickens. La demeure fut rachetée par le célèbre compositeur et librettiste William Schwenck Gilbert mais celui-ci mourut noyé dans le lac artificiel creusé près du manoir. Classé en 1970 Grim’s Dyke House est désormais un hôtel de très haut standing, rénové en 1996. (source : The Avengers on Location)

o La maison d'Averman est Hillcrest à Arkley (aujourd'hui démolie).

o La demeure du professeur Witney se trouve à The Bishops Avenue, Londres. Ce quartier de Londres (The Millionaire’s Row) est devenu depuis les années 80 la résidence de nombreux potentats, notamment turcs ou iraniens, lui apportant un style original via des villas de styles très variés autant qu’ostentatoires.


Continuité

o Étrange : on a droit au même plan deux fois : de 16'31" à 16'36" et de 19'02" à 19'07".

o L'effet de la vitre du sablier qui vole en éclat quand Steed tire dessus est rendu par un simple film en plastique transparent qu'on agite.


Détails

o Tara porte des lunettes dans une brève scène. C'est la seule fois dans la série.

Acteurs – Actrices

o Peter Jeffrey (1929-1999) a participé à trois autres épisodes de la série : Avec vue imprenable (saison 4), Le joker (saison 5) et Le château de cartes (New Avengers). Il était un acteur talentueux et reconnu. Un grand comédien britannique. L'un des plus grands méchants des Avengers : les personnages de Prendergast du Joker et Bristow de Jeux sont mémorables. Diplômé de Cambridge, son répertoire allait du théâtre classique aux comédies télévisées. Il travailla avec les plus grandes compagnies théâtrales dont la Royal Shakespeare Company. Peter Jeffrey réalisa plusieurs mémorables apparitions dans Dr Who (le rôle titre lui aurait d’ailleurs été proposé), la plus célèbre demeure le diabolique Comte Grendel dans… The Androïds of Tara ! (1978). De quoi consoler Tara de n’avoir jamais rencontré les Cybernautes… Il est décédé le jour de Noël 1999 d'un cancer de la prostate.

o Garfield Morgan (1931) fait deux autres apparitions très remarquées : Les marchands de peur, saison 5 et Noël en février, saison 6. Il est l'inspecteur Frank Haskins dans la série Regan (1975-78) avec John Thaw dans le rôle titre.

À noter que…

o D'après le magazine Génération séries, cet épisode (sans Mère-Grand) est sans aucun doute le meilleur de toutes les saisons des Vengeurs.

o Cet épisode est le premier dans le top 5 des meilleurs épisodes de la saison 6 du guide The Avengers dossier.

o Cet épisode fut choisi pour ouvrir la saison aux États-Unis et en Angleterre. Il est habituellement le premier de la saison 6 à être diffusé en France, lors des rediffusions de la série.

o Commentaire de Patrick Macnee pour cet épisode : "Les méchants dans les Avengers étaient aussi excentriques que bizarres, ça me plaisait ! Ils semblaient normaux, mais étaient en fait fous à lier. Comme le maître de jeux macabre de cette histoire, joué à la perfection par la guest-star Peter Jeffrey." - (source : bonus DVD)

o Une image atroce tout au long de l'épisode : définition exécrable, couleurs baveuses, image floue, master sale...

o Les noms des seconds rôles et des acteurs qui les interprètent n'apparaissent pas une fois de plus au générique de fin.

o Howard Blake composa la musique de cet épisode.

o Une référence au premier James Bond, Dr No, lorsque Steed rampe dans les tuyaux et 'sacrifie' son melon.

o Coupures de presse lors de la 1re diffusion française.

Télé 7 Jours

Télé Poche

Télé Magazine

Fiche de Jeux des sites étrangers

En anglais

http://theavengers.tv/forever/king-1.htm
http://www.dissolute.com.au/avweb/tara/601.html
http://deadline.theavengers.tv/King-02-Game.htm

En flamand

http://home.scarlet.be/~pvandew1/avengers/king03.htm

En italien

http://www.serietv.net/guide_complete/agente_speciale/stagione_6.htm#130

En espagnol

http://losvengadores.theavengers.tv/tara_game.htm

 

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